12 mars 2017

Macron, le liquidateur...


1°) Introduction

En 2014, Clara Gaymard, PDG de General Electric France avait déclaré, « quand François Hollande est venu aux Etats-Unis, il a dit venez investir en France. Quand Jeff Immelt a été reçu pour la première fois par le Président, la dernière question qu'il lui a posée a été, ''qu'est-ce que je peux faire pour vous ?'' et François Hollande lui a répondu, venez investir chez nous ». Message reçu 5 sur 5, le gouvernement socialiste à vendu la France aux américains. Plusieurs rapports d'investigation concluent à une accusation de haute trahison par nos dirigeants politiques comme le savent TOUS LES PATRONS DES SERVICES SECRETS français et étrangers, suite à la vente d'Alstom Energie à General Electric, avec la complicité de nos médias de radio/TV de propagande qui ont enfumé les français. Alors qu'Emmanuel Macron est à l'origine de la loi travail reprise par Manuel Valls, on voit celui-ci en tête des sondages, surprenant NON. Les français sont-ils subitement devenus FOUS et AMNÉSIQUES ?

TRAHISON du gouvernement socialiste et d'Emmanuel Macron contre la France et notre défense nationale, AFFAIRE CENSURÉE PAR LA PRESSE, par les MEDIAS.

Cet article sera divisé en 2 parties, car il est trop long. J'écrivais dans un précédent article du 21/02/2017, que puisque certains voulaient « parler d'économie, eh bien j'en reparlerais et j'aborderais le plus gros scandale de la trahison économique socialiste avec la complicité d'Emmanuel Macron dans un autre article. Quand nous voyons tous ces jeunos soutenir Macron, on se dit qu'ils ont la mémoire courte, et que le QI des français est en baisse. Depuis un mois on nous emmerde avec l'affaire du Pénélopegate de moins d'un million d'euros, alors que le parti socialiste est coupable d'une affaire de haute trahison et d'atteinte à la sûreté de l'état, et à nos intérêts économiques de plusieurs milliards d'euros suite à la vente d'Alstom aux américains. Sauf que là tous les journalistes, tous les prétendus experts en économie, les syndicalistes, les membres de la gauche et de la droite, tout ce beau monde est aux abonnés absents. Ils ont tous oublié de prendre leurs casseroles pour aller manifester devant les meetings des candidats Emmanuel Macron et Benoît Hamon, ce qui est très surprenant. Dans ce dossier tous les ingrédients sont réunis, pressions, chantage, espionnage, atteinte à la sûreté de l'état, haute trahison, etc... Il n'y a que peu de journalistes qui ont mené une véritable investigation sur ce scandale. Un autre article plus complet sera réalisé sur ce dossier complexe, et on peut parier que ce scandale remontera à la surface ». Et j'ai oublié de parler des délits d'initiés, qui n'ont pas été recherchés.

2°) Parcours d'Emmanuel Macron

En 2004 il est diplômé de l'ENA.

En 2008, il devient inspecteur des finances et débute sa carrière de banquier d'affaires chez Rothschild & Cie.

De 2006 à 2009, il devient membre du Parti socialiste, c'est Jacques Attali qui a présenté Emmanuel Macron à François Hollande.

En 2012 à juin 2014 il est secrétaire général adjoint de la présidence de la République auprès de François Hollande.

Après le départ de Montebourg, il devient ministre de l'Économie, de l'Industrie et du Numérique. En avril 2016, il crée le mouvement politique « En marche ! ».

En août 2016 il démissionne de ses fonctions de ministre.

Le 16 novembre, il annonce sa candidature à l'élection présidentielle de 2017.

La presse de cherche pas à savoir d'où viennent les fonds pour financer sa campagne. Pour certains il est financé par la haute finance internationale en échange de ses trahisons.

Depuis Avril 2015, Emmanuel Macron a récolté plus de 5 millions d'euros., auprès de 18.700 donateurs, suite à des petits-déjeuners, des dîners en ville, et voyages à l'étranger, à Londres, Bruxelles, Berlin et New-York. Il négocie aussi un prêt de 8 millions d'euros, et espère obtenir un budget de campagne jusqu'à 17 millions d'euros, pour aller jusqu'au second tour.

3°) Circulez, il n'y a rien à voir.

Emmanuel Macron a toujours soutenu les exigences de General Electric. Pourquoi ?

Quand il est devenu conseiller à l'Elysée il a soutenu les exigences américaines. Pourquoi ?

Heureusement que j'ai attendu le 9 mars pour publier cet article, sinon je n'aurais pas été en mesure de parler de la rencontre de 45 minutes entre Emmanuel Macron et de Michael Bloomberg, 8ème fortune mondiale, ex-maire de New-York, patron d'un groupe financier et médiatique. Ce média a joué un rôle dans le cour des actions et la vente d'Alstom à General Electric, en faisant des révélations le 27/03/2014 sur les poursuites pour corruption par la justice américaine et le FBI qui avait mobilisé pas moins d'une vingtaine d'enquêteurs, comme si les groupes américains ne pratiquait pas la corruption. Mais là l'Europe est incapable d'agir, ni de protéger nos grands groupes, donc elle ne sert à rien. Il est étonnant de voir le silence de notre presse sur ce dossier.

Le 27/02/2017, Laurence Haïm ex-journaliste de Canal+ en poste à Washington, nouvelle porte-parole de Macron a osé affirmer « Emmanuel Macron est le Barack Obama français » et « Emmanuel Macron est de la trempe du 44e président américain ». Non mais c'est une plaisanterie ! Depuis son passage à Washington, cette journaliste à une vision déformée des réalités, et ne connaît plus rien à la situation de la France. Quelqu'un pourrait-il rappeler à Laurence Haïm qu'Emmanuel Macron n'a jamais été élu en France, et que Barack Obama n'a jamais contribué à faire passer la défense américaine sous le contrôle d'une puissance étrangère, contrairement à Emmanuel Macron et au gouvernement socialiste. Tous les scandales de la gauche socialiste, y compris de pédophilie (vidéo 3,52 mn), sont systématiquement étouffés et censurés par la presse française, qui préfèrent parler des autres parties politiques, preuve que la presse est indépendante.

Le 08/03/2017, pour ne rien arranger Laurence Haïm est intervenue à 18h30 avec virulence sur BFMTV en coupant la parole à ses interlocuteurs pour mieux monopoliser le débat. Cela n'a pas plu a madame qu'on parle de l'affaire révélée par le Canard Enchaîné du 08/03/2017, sur la soirée Consumer Electronics Show (CES) organisée le 06/01/2016 à Las Vegas. Cette soirée a bien profité Emmanuel Macron et elle a coûté à la France ou plutôt aux contribuables, 381.759 €, pour 500 invités. C'est pourtant Michel Sapin, Ministre du budget, en décembre 2016 qui a demandé une enquête à l'Inspection Générale des Finances (IGF) et les conclusions affirmaient : « La commande de la prestation Havas est susceptible de relever du délit de favoritisme. » Laurence Haïm a précisé qu'il n'y a pas d'affaire Macron, et que c'est l'affaire « Business France. » Sauf que le contrat a été signé le 10/12/2015, et Business France n'a « eu connaissance de la prestation à l'hôtel Linq que le 16/12/2015 ». Pour Laurence Haïm il n'y pas d'affaire Macron, mais c'est bien lui qui a profité de la soirée. Elle a été jusqu'à menacer de poursuites judiciaires ceux qui mettraient en cause E. Macron, sous entendu à ses interlocuteurs, n'en rajouter pas. Cela augure bien de l'avenir de la démocratie et de la liberté d'expression en France, si Emmanuel Macron venait à être élu président de la République à la suite de l'élection.

Le même jour, un porte-parole du parquet national financier (PNF) a déclaré « attendre plus d'informations » (sic) pour envisager « les suites éventuelles et a pris connaissance de l'article du Canard enchaîné. » Le PNF « s'est rapproché de l'Inspection générale des finances pour obtenir plus d'informations » sur les « soupçons de favoritisme autour d'un déplacement à Las Vegas d'Emmanuel Macron », quand il était ministre de l'économie. « Dès que nous aurons plus d'éléments, nous envisagerons avec le parquet de Paris les suites éventuelles à donner ». Nous pouvons parier ici que le parquet ira beaucoup moins vite que pour les autres candidats. La presse à fait tout un bordel avec l'affaire Fillon, mais là pour Macron, pas de rappel toutes les dix minute sur BFMTV et les autres médias. On ne parle même pas du scandale Alstom.

Une autre affaire est passée en moins de 30 secondes sur les diverses chaînes de radio/télé, c'est la raison de la démission de Jean-Jacques Mourad, médecin interne à l'hôpital Avicenne de Bobigny (Seine-Saint-Denis) et membre de l’équipe santé d’Emmanuel Macron. Le dimanche 05/03/2017, quelqu'un de Formindep, l’association pour une information médicale indépendante avait demandé sur Twitter,, « Qui parle ? Le porte-parole de Macron ou le speaker de Servier ? » Voilà comment on a découvert le pot-aux-roses. Entre le 1er janvier 2013 et fin juin 2016, il est intervenu plus de 66 fois y compris dans des cycles de conférences à l’étranger, et il était payé par le groupe pharmaceutique, soit une à deux par mois. Il faut aussi compter 80.000 € de frais de restaurant et de transport. Le Dr Mourad déclare dans un communiqué, « Je reconnais ne pas avoir fait état de mes liens avec le laboratoire Servier, ni au moment d’intégrer ce groupe ni au cours de nos travaux ». Son frère Bernard Mourad, est aussi le plus proche conseiller spécial de Macron, chargé du financement de la campagne du mouvement « En Marche ». Mais Bernard Mourad est un ex-banquier de la banque Morgan Stanley, spécialiste du secteur des télécoms, qui en 2014 s'est occupé de l'opération de rachat de SFR au profit de Patrick Drahi, comme le monde est petit.

Le 28/10/2014, Emmanuel Macron qui venait d'être nommé ministre de l'économie pour remplacer Arnaud Montebourg (vidéo 1mn) qui était contre la vente d'Alstom, a autorisé le rachat de SFR par Patrick Drahi. La valeur du groupe Drahi a doublé et fait gagner 14 milliards d'euros à ses actionnaires. Depuis 2015 il est le patron du groupe de presse, Express souvent réprésenté par Christophe Barbier (ami d'Emmanuel Macron, PHOTO) sur BFMTV (et autres TV), Libération, l'Etudiant, RMC etc... Patrick Drahi est un des soutiens d'Emmanuel Macron. La presse est-elle indépendante ? Tout le monde a été en mesure de constater un harcèlement judiciaire et un harcèlement médiatique contre les candidats opposés à Emmanuel Macron, il faut être aveugle pour ne pas le voir. C'est sûr que quand nous voyons cette PHOTO (cliquez ici), l'indépendance de la presse en attrape un coup.

Emmanuel Macron quand il a été nommé ministre devait déposer sa déclaration de patrimoine qui a été enregistrée le 24/10/2014. Paul Mumbach avait saisi le Pôle financier sur une éventuelle sous-estimation dans la déclaration. La requête a été déposée le 14/02/2015, mais aucun bruit, il est vrai que ce n'est pas François Fillon qui est concerné dans le cas présent. La différence de traitement judiciaire et médiatique énerve beaucoup de français.

Le 09/02/2017, Nicolas Dupont-Aignan déclarait sur Sud Radio et Public Sénat, « j’ai repris toutes les cessions d’entreprises françaises à des groupes étrangers sous Macron, et à quatre reprises, la banque Rothschild a opéré les transactions ».

Le 24/01/2017, les journalistes Frédéric Says et Marion L'Hour, affirment dans un livre à paraître, « Dans l'enfer de Bercy : Enquête sur les secrets du ministère des Finances », qu'en 2016, le ministre de l'Economie aurait utilisé 80% de la totalité de l'enveloppe des frais de représentation accordée à son ministère, pour toute une année, soit 120.000 € du 1er janvier au 30 août.

Le 24/01/2017, Philippe Vigier, président du groupe UDI à l'Assemblée nationale, a déclaré lors d'une conférence de presse, « il y a des choses importantes qu'on a apprises hier, notamment au niveau des frais de bouche, puisque 120.000 € des crédits du ministre à Bercy ont été utilisés pour des agapes « d'En marche ! », pour réunir tel ou tel, pour préparer sa campagne présidentielle. » Le député a alerté Jean-Louis Nadal, président de la Haute autorité pour la transparence de la vie publique. « Les députés sont passés à la moulinette et doivent expliquer comment ils dépensent chaque centime de leurs indemnités. Il n'y a pas de raison que Macron soit traité différemment. »

Le 02/03/2017, Emmanuel Macron intervenait pour parler de « stratégie de moralisation de la vie publique (...) pour mettre fin aux conflits d'intérêts » (sic). C'est encore plus drôle quand nous entendons Emmanuel Macron critiquer les autres candidats. Plus personne ne croit à la probité des hommes politiques, et encore moins chez les militaires, ou membres du renseignement. Je vous laisse imaginer les unes de la presse, si à la place d'Emmanuel Macron nous avions eu François Fillon dans les faits précédents, nous aurions eu le cirque à tous les étages.

La presse française et les socialistes ont aussi intensifié leurs attaques contre François Fillon, quand il s'est déclaré en faveur de discussions avec la Russie. Cela rappelle ce qui s'est passé aux USA avec Donald Trump. Il y a donc bien une différence de traitement par la presse entre les divers candidats, il faut être aveugle pour ne pas le voir. J'ai donc là aussi commencer à m'intéresser à la liberté de la presse. D'ailleurs la presse française est de plus en plus mal classée par RSF, elle est en effet passé au 45ème rang mondial sous le régime socialiste actuel, nous avons reculé de plus de 7 point en 2015. D'ailleurs de moins en moins de français supportent la propagande au service des socialistes. Mais cela n'empêche pas des journaliste venir jouer la carte de la victimisation, et les pleureuses indignées, alors qu'un bon paquet sont aux ordre des politiques, dans le cas contraire le gouvernement agirait pour faire sauter leurs subventions. Eh oui, beaucoup l'ignore, mais ils sont pratiquement subventionnés, y compris ceux qui affirment le contraire et se disent au service des consommateurs.

4°) La presse française sous influence américaine ?

Nous avons tous constaté le silence de la presse sur les diverses affaires qui concernent Emmanuel Macron, il n'y a pas une seule enquête. Il est visiblement soutenu pas le monde financier, les banques et le MEDEF, qui ont tout intérêt à le voir arrivé au pouvoir. Il est nécessaire de rappeler qu'il est à l'origine de la loi travail, qui avait provqué de nombreuses manifestations dans tout le pays.

Depuis le 28 février 2017, Google News Lab et l'European Journalism Center (EJC) coordonnent, des médias français et étrangers pendant la campagne électorale présidentielle française. Des écoles ont été mises à contribution pour fournir des « experts » (sic, en désinformation ?). Ces deux organisations se basent sur les procédés de ProPublica qui avait orienté les médias contre Donald Trump lors de la campagne américaine, ce qui s'est traduit par un échec. Buzz Feed News avait publié une information (fausse ?) en affirmant que les services secrets russes avait un dossier qui permettait de faire chanter Donald Trump. Les partenaires de ProPublica et la presse française avaient repris cette information « non vérifiée » et « diffamatoire ». Actuellement la presse française accuse la Russie de piratage et d'interférer sur l'électron de 2017, sauf que tout le monde oublie que les services secrets américains avaient piraté et espionné tous les candidats de l'élection présidentielle de 2012. Il est facile de passer par un VPN étranger pour faire accuser un autre pays.

France News Lab a révélé que les premiers partenaires étaient, l'AFP, Bellingcat, Bloomberg, Buzz Feed News, France Médias Monde (via les Observateurs de France 24), Libération, L'Express, La Provence, Les Echos, La Voix du Nord, Le Monde, Les Décodeurs, Nice-Matin, Centre de formation des journalistes, Centre France, Channel 4, École de journalisme de Sciences Po, École publique de journalisme de Tours, Euractiv, Euronews, Explicite, Facebook, Factoscope, France24-Les Observateurs, France Télévisions, Global Voices, International Business Times, L'Avenir, LCI, Le Journal du dimanche, Le Télégramme, Les Échos, London School of Economics, Mashable-France 24, Meedan, Nice-Matin, Ouest-France, Rue 89, StoryFul, Street Press, Sud-Ouest.

George Soros a investi dans Google pour réaliser une campagne de « Fakes News ». Il a financé Hillary Clinton mais elle a quand même perdu l'élection présidentielle contre Donald Trump.

D'octobre à décembre 2011, Soros a acheté 258.900 actions de Google à environ 592 $ l'action pour un total de 154 millions de dollars. L’investissement a été réalisé via Quantos, le prédécesseur de Soros, un fond de couverture performant. En 2011, il a été fermé au public pour gérer la gestion des actifs de la famille George Soros. L'achat de titres de Google en fait la 5ème plus grande possession, soit au moins 7,3% de son portefeuille.

Le 16/02/2012, Forbes avait révélé que George Soros avait négocié des actions avec Googleavant 2007, mais qu'il les avait complètement épuisé au 2ème trimestre de 2011, à 550 $ l'action.

Le 1er trimestre 2013, Soros Fund Management LLC a augmenté sa position dans Google.

Le 15/11/2016, Market Watch a révélé que le fonds de couverture Soros Fund Management LLC, de George Soros, a investi dans Alphabet Inc., la société mère de Google.

En décembre 2016, l'Open Society Foundations de Soros, a rejoint Google. Il avait investi 1 million de dollars dans la campagne d’Hillary Clinton face à Donald Trump qui a gagné au final.

Le 15/12/2016, Neera Tanden, présidente du Center for American Progress, a déclaré que le but de l'organisation Soros était « d’être le noyau central de la résistance de Trump et de tenir Trump responsable des promesses qu’il a faites ».

Le 06/02/2017, Google News Lab a annoncé la création d’un nouveau projet « Fake News », présenté par CrossNews, comme un effort de collaboration entre les journalistes, salles de rédaction et sociétés de médias sociaux qui dans le but d'empêcher le FN de gagner les élections de 2017. Il y a donc bien interférence des américains dans la campagne électorale française.

Le 06/02/2017, Google a déclaré de Paris dans un communiqué de presse qu'il faisait un partenariat entre Google News Lab et First Draft pour aider « l'électorat français à comprendre en quoi et à qui faire confiance dans leurs flux de médias sociaux dans les prochains mois ».

Depuis juin 2015, Google News Lab finance partiellement First Draft, une société technologique (liste de ses partenaires) qui surveille les informations en ligne. Le but serait de « sensibiliser et de relever les défis liés à la confiance et la vérité dans les informations numériques ». Le projet CrossCheck, avec Facebook’s Crowd Tangle travaille avec des rédactions Françaises pour surveiller l'élection présidentielle française. Le communiqué de presse de Google News Lab précise que « CrossCheck vise à garantir que les canulars, les rumeurs et les fausses déclarations soient rapidement démystifiés et que des histoires trompeuses ou confuses soient signalées avec précision (...) A l’approche de l’élection présidentielle française, des journalistes de toute la France et d’ailleurs travailleront ensemble pour trouver et vérifier le contenu en ligne, qu’il s’agisse de photographies, de vidéos, de mêmes, de fils de commentaires et de sites d’actualités. (...) Les partenaires de CrossCheck utiliseront les rapports collectifs dans leurs propres articles, émissions de télévision et contenus de médias sociaux. »

Le 02/03/2017, on apprend que « Sciences et Avenir » a rendu compte dans sa revue de mars sur 4 pages d'un entretien de deux heures entre Emmanuel Macron et des scientifiques, Jean-Claude Ameisen, Claudine Hermann, Axel Khan, Hubert Reeves et Cédric Villani. Il en est de même sur le site du mensuel dédié à « l’actualité des sciences ».

Emmanuel Macron a aussi participé avec de gouvernement socialiste à la vente d'Alstom à General Electric, qui a mis notre industrie nucléaire civile et militaire, notre défense nationale et spatiale sous contrôle américain, un sujet qui sera diffusé dans un autre article la semaine prochaine. En clair ce gouvernement socialiste a commis une action de trahison contre la France en faveur d'une puissance étrangère.

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